Par Ahmat Moussa Adoum 
Une fois la nuit tombée, l’insécurité routière devient plus élevée en raison du manque d’éclairage des voie publiques. Assassinats et agressions sont le quotidien des usagers.
Beaucoup des routes tchadiennes particulièrement celles de la capitale n’ont pas des lampadaires d’éclairage public. Même les quelques rares lampadaires qui existent ne fonctionnent pas faute de coupure intempestives de l’électricité, provoquant des accidents ou donnant une aubaine pour les agresseurs.
« On travaille jusqu’au petit matin devant les bars, les night club et des fois au niveau des grands axes pour subvenir au besoin des nos familles. Certains clients nous guident dans certains quartiers où il n’y a pas de l’électricité, on ne peut pas refuser c’est avec ça qu’on vie alors on prend le risque d’y aller mais on se confie à Dieu pour notre protections », se confie un mototaxi.
Faut-il le rappeler, chaque jour des paisibles citoyens sont victimes d’assassinats ou d’agressions. Les autorités doivent doubler d’efforts pour pallier ce problème d’insécurité dans la capitale.
Abdel-latif Mahamat Ibet