
Le Président du Parti Socialiste sans Frontière, Yaya Dillo Djerou Betchi, a présidé dans l’après midi du 9 juin 2021, à l’espace Festa’africa, dans le 6ème arrondissement, une cérémonie de ralliement des membres des autres partis au sein de sa formation politique.
Malgré la perturbation survenue de la part des forces de l’ordre qui voulaient empêcher la tenue de ladite cérémonie, les militants du PSF ont finalement accueilli avec enthousiasme les nouveaux adhérents de leur parti.
Dans son discours de bienvenue, le président du comité d’organisation, Dinamou Daram précise que le PSF est en bonne forme. « Cette double cérémonie est la preuve que le PSF est en très bonne forme et que tous ses militants sont tous engagés en son idéologie résumé par sa devise unité-changement- justice ». Une minute de silence envers les martyrs tchadiens qui sont tombés pour l’instauration d’un État de droit au Tchad, a été fait observée par le président du comité d’organisation. Donnant les raisons du soutien de son organisation à Yaya Dillo Djerou Betchi, Israel Reounodji Victoire, coordonnateur du mouvement des jeunes pour l’abolition des tortures policières, l’alternance, le respect de la dignité humaine et la justice sociale au Tchad (MJATPARDHJST), affirme que Yaya Dillo demeure un point de liaison entre les tchadiens afin de les rapprocher à partager un même avenir, un même travail en tenant compte de mérite.« Monsieur Yaya Dillo Djerou Betchi incarne le ciment d’union du peuple Tchadien qui a été longtemps fragmenté par les partisans du népotisme, du régionalisme, du favoritisme, de l’affinité, de la gabegie, de la démagogie. Ces maux ont occasionné la dérive favorisant toujours la classe bourgeoise au détriment de la classe prolétarienne plongée dans une prauvreté extrême », fait-il savoir.
A cette occasion, le président du PSF a tenu à rendre un hommage mérité aux responsables et militants des partis membres du front nouveau pour le changement (FNC) pour leur sens élèvé de solidarité, d’abnégation et leur combat pour la justice et la démocratie.« Notre pays le Tchad après plus de 60 ans d’indépendance, se trouve aujourd’hui au carrefour de son histoire tumultueuse. 60 ans de guerre fratricide, d’injustice sociale, de la mauvaise gouvernance et de la tribalisation de la vie nationale. Nous voilà embarqué dans un nouveau cycle vers une destination inconnue », constate-il. Pour lui, après la mort du feu président Idriss Deby, on constate le redémarrage de l’ancien système avec le CMT. Il déclare par ailleurs que, le PSF ne prendra pas part aux actions qui seront posées par le CMT car, il demeure toujours à leurs yeux, illégal. « Pour nous, il est totalement anormal de revendiquer d’être démocrate et faire parti d’une instance illégale et illégitime. Car, en acceptant de faire parti d’un des organes de la junte, en réalité on est entrain de la legimiter et ainsi contribuer à l’admission du cycle infernal de la prise de pouvoir par les coups d’État institutionnel », soutient-il.
En taclant les baministes qui sont en déchirement au sujet de la tenue de leur congrès, Yaya Dillo Djerou Betchi invite les déchus Mahamat Zene Bada, Ahmat Soubiane, etc., à choisir le camp de l’histoire afin de rendre service à la marche démocratique du peuple Tchadien en regagnant le PSF.
Dans son discours de bienvenue, le président du comité d’organisation, Dinamou Daram précise que le PSF est en bonne forme. « Cette double cérémonie est la preuve que le PSF est en très bonne forme et que tous ses militants sont tous engagés en son idéologie résumé par sa devise unité-changement- justice ». Une minute de silence envers les martyrs tchadiens qui sont tombés pour l’instauration d’un État de droit au Tchad, a été fait observée par le président du comité d’organisation. Donnant les raisons du soutien de son organisation à Yaya Dillo Djerou Betchi, Israel Reounodji Victoire, coordonnateur du mouvement des jeunes pour l’abolition des tortures policières, l’alternance, le respect de la dignité humaine et la justice sociale au Tchad (MJATPARDHJST), affirme que Yaya Dillo demeure un point de liaison entre les tchadiens afin de les rapprocher à partager un même avenir, un même travail en tenant compte de mérite.« Monsieur Yaya Dillo Djerou Betchi incarne le ciment d’union du peuple Tchadien qui a été longtemps fragmenté par les partisans du népotisme, du régionalisme, du favoritisme, de l’affinité, de la gabegie, de la démagogie. Ces maux ont occasionné la dérive favorisant toujours la classe bourgeoise au détriment de la classe prolétarienne plongée dans une prauvreté extrême », fait-il savoir.
A cette occasion, le président du PSF a tenu à rendre un hommage mérité aux responsables et militants des partis membres du front nouveau pour le changement (FNC) pour leur sens élèvé de solidarité, d’abnégation et leur combat pour la justice et la démocratie.« Notre pays le Tchad après plus de 60 ans d’indépendance, se trouve aujourd’hui au carrefour de son histoire tumultueuse. 60 ans de guerre fratricide, d’injustice sociale, de la mauvaise gouvernance et de la tribalisation de la vie nationale. Nous voilà embarqué dans un nouveau cycle vers une destination inconnue », constate-il. Pour lui, après la mort du feu président Idriss Deby, on constate le redémarrage de l’ancien système avec le CMT. Il déclare par ailleurs que, le PSF ne prendra pas part aux actions qui seront posées par le CMT car, il demeure toujours à leurs yeux, illégal. « Pour nous, il est totalement anormal de revendiquer d’être démocrate et faire parti d’une instance illégale et illégitime. Car, en acceptant de faire parti d’un des organes de la junte, en réalité on est entrain de la legimiter et ainsi contribuer à l’admission du cycle infernal de la prise de pouvoir par les coups d’État institutionnel », soutient-il.
En taclant les baministes qui sont en déchirement au sujet de la tenue de leur congrès, Yaya Dillo Djerou Betchi invite les déchus Mahamat Zene Bada, Ahmat Soubiane, etc., à choisir le camp de l’histoire afin de rendre service à la marche démocratique du peuple Tchadien en regagnant le PSF.
Ngaradé Ndolébé Vidal