Par Ibrahim Adam 
Depuis l’annonce du confinement, les conditions de travail des journalistes des radios, télévisions et presse écrite privées deviennent de plus en plus difficiles, alors que la population a besoin d’information et de sensibilisation à travers les médias.
Certains hommes en treillis ne reconnaissent pas la carte de presse qui leur est présentée par les journalistes qui sont sur le terrain pour faire leur travail afin d’informer le public.
Les organisations de défense des journalistes déplorent des restrictions massives en matière de liberté de la presse dans le contexte de la pandémie de Covid-19 depuis le déclenchement de cette pandémie au Tchad en mars 2020. La Haute Autorité des Médias et de l’Audiovisuel (HAMA) est interpellée afin de discuter avec les autorités en charge de la sécurité pour que les journalistes puissent faire leur travail d’information et de sensibilisation.
Car à ce niveau, c’est la sensibilisation qui doit primer, ajouté à cela, les sanctions pécuniaires prévues par la loi. Empêcher au journaliste de faire son travail et brutaliser le citoyen ne font qu’empirer la situation.
S.N